La Vie sans Kumul Kama

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A Tabare, petit village de Papouasie Nouvelle Guinée, la canne à sucre native localement appelée Kumul Kama, était très appréciée dans le passé, et elle reste aujourd’hui encore indispensable pour célébrer traditionnellement les mariages et les funérailles. Mais avec l’exode massif de populations vers les centres urbains, on assiste à un abandon progressif de cette culture ancestrale, qui n’est aujourd’hui presque plus pratiquée dans les communautés de Tabaré. Pourtant, cette canne à sucre indigène poussait pourtant très bien dans le passé, mais Mr Wedge estime qu’avec le changement climatique, ce n’est plus le cas. L’introduction récente de variétés plus productives a modifié les habitudes des populations locales qui ne cultivent plus le Kumul Kama. Au grand dam de Mr Wedge qui voit avec ces changements la disparation annoncée d’une partie importante de sa culture traditionnelle.

Zones géographiques
Océanie | Papouasie-Nouvelle-Guinée
Mots-clés
Alimentation | Conservation de la biodiversité | Consommation locale | Coutume | Espèces menacées | Replantation | Sécurité alimentaire | Transmission des savoirs |
Date de production
2023
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